Élégance et précision avec les montres Louis-Ulysse Chopard à Bruxelles
La manufacture Chopard s’est, en effet, inspirée de son héritage créatif pour doter d’une grande finesse esthétique ces deux nouveaux garde-temps. La passion de la précision et de la bienfacture qui animait Louis-Ulysse Chopard revit dans la collection L.U.C., un projet personnel de Karl-Friedrich Scheufele, le président de la marque. Ce gentleman de l’horlogerie aime raconter comment son père, propriétaire d’une entreprise de montres et bijoux de la Forêt-Noire, reprit la petite manufacture traditionnelle en 1963. “Il venait avec un projet, une vision : unir le savoir-faire de l’orfèvrerie allemande à l’excellence mécanique suisse”, explique-t-il. Une symbiose enrichissante qui sera à la base de l’ascension de Chopard parmi les plus grandes maisons helvètes.

Depuis la création de la première montre L.U.C. en 1997, la collection s’est étoffée de toutes les complications majeures, alliant sophistication technique et démarche artisanale exceptionnelle. Ce niveau de perfectionnisme réapparaît avec l’arrivée des deux quantièmes perpétuels, l’un associé à un tourbillon volant, l’autre à un indicateur de phases de lune s’autorisant un décalage d’à peine 57,2 secondes entre deux lunaisons.
Quel est ce style ultra féminin et raffiné qui signe le retour de l’élégance des années 1950 ?
Auréolées de deux certifications, chronomètre et Poinçon de Genève, la L.U.C. T Twin Perpetual Tourbillon et la L.U.C. Lunar One ont en commun l’affichage d’une grande date dans un double guichet azuré, un cadran guilloché au motif rayonnant réalisé à la main, des aiguilles et index également en or et, au verso, un délicat micro-rotor en or 22 ct. Le format réduit de celui-ci permet d’offrir une large vue sur les rouages et une épaisseur de boîtier d’à peine 11,63 mm malgré le remontage automatique. Leur silhouette repensée, “bassinée” afin de se poser avec légèreté sur le poignet, est forgée dans le fameux or éthique que Chopard utilise pour l’ensemble de sa production de montres et bijoux depuis 2018. La maison genevoise a été en effet la première à miser sur l’extraction responsable et équitable de l’or, à petite échelle artisanale. “Cela nous permet d’obtenir une traçabilité complète de notre approvisionnement en métal précieux, de la mine au produit fini. D’une manière générale, c’est important de montrer l’exemple dans l’industrie du luxe.”
Chopard
Boulevard de Waterloo 57b à 1000 Bruxelles
02 514 73 25